Liste des éditeurs du Site "Culture et Traditions" de la lettre E à la lettre L.
ch' est un éditeu indépindant plaché à Doï. Il est éspécialisé dins chés lifes dseur chés cultchures locales dins l'Urope Nord-Ouest.Engelaere éditions il a r'pris chés Secondes éditions du K. ex Éditions du K. qui ont publié des lives à Pierre Garnier, Ivar Ch’Vavar et pi Christian Déquesnes in picard.
Découvrez tous nos livres des éditions "Equinoxe".
Découvrez notre gamme de livres des éditions "E+PI - Entreprises et Patrimoine Industriel".
Ensemble, les membres de l’équipe imaginent, conçoivent, photographient, rédigent, illustrent et éditent des brochures et des livres. Ils mettent également en scène des expositions, organisent des ateliers pédagogiques et communiquent sur vos évènements.Emmanuel GoulliartPhotographe de presse puis photographe éditeur, Emmanuel interroge depuis plus de quinze ans les hommes et leurs identités territoriales, professionnelles, sociales et culturelles… en région Nord-Pas-de-Calais et dans l’eurorégion. Une partie de son travail s’oriente autour de la valorisation de publics en difficulté d’insertion sociale ou professionnelle. Plusieurs de ses aventures ont débuté par des ateliers photographiques et se sont prolongées par des expositions telles que L’Usine dans la Ville, la série des Vespérales (sur la métropole lilloise, à Douai et sur le littoral, jusqu’en Angleterre avec Vespérales Dunkerquois – North Kent), mais aussi Atout Femmes, Nous au pluriel et Fives autrement Vues en association avec des centres sociaux et des centres de formation de la région.En 2005, Emmanuel crée l’étagèréditions avec comme ambition de placer ses interlocuteurs au cœur de projets qui permettent de changer les regards sur les quartiers, les villes et les entreprises. Depuis, les portes de l’étagèréditions se sont ouvertes à des talents qui partagent ses valeurs.Geneviève HermannIngénieur de formation, Geneviève est journaliste depuis une vingtaine d’années. Originaire de Bretagne, elle a d’abord travaillé à Paris au siège de grands industriels puis dans la presse spécialisée. Arrivée à Lille en 1999, elle y obtient un diplôme de 3e cycle en intelligence économique. Depuis, elle suit l’actualité économique et industrielle de la région pour la presse nationale. Elle est correspondante de La Tribune, L’Usine Nouvelle, Emballages Magazine, L’Entreprise et Recyclage Récupération. À l’étagèréditions, elle a collaboré à Transport commun, transports quotidiens et a écrit les textes de Fives, 200 ans de révolutions industrielles.Céline LevivierAprès Sciences Po et une formation aux métiers de l’édition, Céline collabore, pendant une dizaine d’années, avec de grandes maisons d’édition parisiennes. En 2005, elle rejoint son Nord natal, s’installe à Lille en tant que journaliste et travaille pour Version femina, La Voix du Nord et au Journal des Entreprises. Sa spécialité : donner à entendre des habitants et des entrepreneurs qui racontent la vie plus au Nord. À l’étagèréditions, elle a collaboré à Cœur d’Ostrevent, Paroles d’Automne 1 et 2, ainsi qu’à Transport commun, transports quotidiens.Virginie PolletAprès des études de graphisme à l’ESAAT de Roubaix, Virginie a travaillé de nombreuses années en tant que directrice artistique pour la vente à distance. Graphiste et directrice artistique indépendante depuis 2010, elle a depuis élargi son domaine de compétence à l’édition, l’identité visuelle et la communication associative. À l’étagèréditions, elle a réalisé le graphisme et la mise en page de Parole d’Automne N° 2 et de Fives, 200 ans de révolutions industrielles.Marie-Noëlle GailletTout d'abord chanteuse, formée à la Maîtrise de Radio-France, Marie-Noëlle s’est longtemps consacrée à l’écriture, la composition et l’interprétation. Membre de la Sacem depuis 1986, elle a enseigné la musique au collège, assisté le conseiller jeune-public de l’orchestre de Paris, rédigé des documents pédagogiques musicaux pour le CNDP et les éditions Gallimard. Depuis 2010, son amour des mots l’a conduite à exercer le métier de lectrice-correctrice. À l’étagèréditions, elle a collaboré à Transport commun, transports quotidiens, Paroles d’Automne 2 et Fives, 200 ans de révolutions industrielles.D’autres collaborateurs :Illustrateurs, historiens, sociologues, archivistes, urbanistes, architectes, imprimeurs, chromistes et bien d’autres spécialistes encore sont dans notre carnet d’adresses au service de votre futur projet.
Nous connaître Le Bureau :Christian Kempf Éditeur et auteur. Voir son profil ci-dessous christian escargotsavant.fr 03 80 84 89 91Marielle Suzeau Assistante de Christian Kempf depuis la création des Éditions de l'Escargot Savant. Elle est en charge de la gestion des commandes. christian escargotsavant.fr 03 80 84 89 91Brigitte Delgado Responsable des Éditions de l'Escargot Savant, elle passera régulièrement dans vos librairies pour vous présenter nos derniers ouvrages. N'hésitez pas à la contacter si elle n'est pas encore venue vous voir ! brigitte.delgado escargotsavant.fr 06 23 59 12 07Vous pouvez nous joindre de 9h à 18h christian escargotsavant.fr Tel : 03 80 84 89 91 Fax : 03 80 90 17 40Les Éditions de l'Escargot Savant Le Thillot 21230 Viévy Franceescargot L'éditeur : La conservation de l'environnement va devenir de plus en plus évidente au gré des années et la priorité du 21ème siècle. Il importe ainsi de protéger le milieu naturel et notre environnement au sens plus large, mais l'on ne protège bien que ce que l'on aime bien et ce que l'on connaît bien. L'Escargot Savant veut ainsi rendre accessible au plus grand nombre les connaissances techniques et scientifiques des spécialistes de l'environnement, en contribuant de ce fait à la protection de la nature.Par son vécu, ses explorations et ses aventures, Christian Kempf a été amené à publier plusieurs livres qui retracent à la fois une partie de sa vie et la richesse d'un pays ou d'une région. Ces collections reprennent donc les divers livres de l'auteur par thèmes : Bourgogne :Ce pays où il fait « bon vivre » est la terre des châteaux des Ducs de Bourgogne, des anciens édifices romains ou celtiques et dispose d'un patrimoine industriel et artisanal remarquable.Mais au-delà des grandes dates de l'histoire, au-delà des noms connus, au-delà des grandes routes et des grandes villes, cette Bourgogne est aussi faite de la vie quotidienne des campagnes, des hommes et des femmes qui ont forgé un terroir et dont les édifices s'appellent lavoir, pigeonnier, mairie, église, vieux pont...Les livres publiés par l'Escargot Savant soulignent la diversité et la richesse de ce patrimoine largement méconnu. Vue de Vievy en bourgogneGuides-albums touristiques :Les guides touristiques donnent de nombreux détails pratiques, car tel est leur but. En revanche, après avoir visité un lieu qui vous a charmé, on a très souvent envie d'emmener avec soi, non pas le prix du restaurant ou de l'hôtel, mais une belle image, une belle peinture, un beau poème, qui rappelle l'intensité des moments vécus sur place.C'est le but de ces albums touristiques qui décrivent de manière bien cadrée la géographie, l'histoire, les gens, l'habitat, la faune, la flore... d'une région, permettant ainsi à chacun d'emmener en souvenir une partie de ce patrimoine.Et parce que nous avons chacun, et à notre manière, parcouru cette région à pied, en vélo, en voiture, en train... des itinéraires touristiques sont donnés en fin d'ouvrage.C'est un nouveau type de guide souvenir ou d'album photographique utile sur le terrain que lance ainsi l'Escargot Savant.
Fondées en 1992, les Éditions de l'Étrave se consacrent à l'édition de livres dont les thèmes (histoire, tourisme, découverte…) sont principalement ancrés dans les régions suivantes :- La Vendée, lieu d'activité des dix premières années de la société - Le Perche (Orne), lieu d'activité depuis 2003 - Les mers du Sud, grâce à la collaboration de Jean Guillou, grand connaisseur des îles du Pacifique
Société indépendante et familiale située à Dijon, les éditions FATON sont spécialisées depuis plus de 35 ans dans la publication de revues culturelles et éducatives dans les domaines de l'histoire de l'art, l'archéologie, l'histoire, la culture générale, la jeunesse et le sport et dans l’édition de Beaux Livres et ouvrages de prestige dans les mêmes domaines.
Découvrez notre gamme de livres des éditions "Fradet".
Découvrez notre gamme de livres des éditions "Gérard Louis".
L’histoire de Geste éditions a commencé en 1992, du tout premier Bestiaire poitevin aux actuelles publications, un catalogue de plus de 1000 titres est né façonnant aujourd’hui une identité culturelle entre Loire et Gironde: récits de vie, parlanjhe, monographies patrimoniales, beaux livres, carnets de voyages, etc., autant de collections qui témoignent de l’activité humaine en région. De son nom d’origine, La Geste Paysanne, la maison conserve sa philosophie humaniste fondée sur l’étude des pratiques populaires, les arts et les sciences du langage. C’est la geste des pays de l’Ouest, source de territoires rêvés et imaginaires, d’une culture régionale révélée. Parallèlement à son activité éditoriale, Geste éditions s’est spécialisée dans la diffusion de livres auprès des libraires du centre-ouest, elle représente désormais près d’une centaine d’éditeurs.
Maison d'édition régionale spécialisée dans les ouvrages sur la Champagne-Ardenne et la Bourgogne. Patrimoine, Histoire, terroir...
Les Editions Hesse, créées en 1989, sont une petite structure dirigée par Catherine et Jacques Hesse. La production initiale, limitée à un ou deux titres par an, avait une ligne éditoriale éclectique. Se côtoyaient des ouvrages de Robert Hainard, artiste animalier suisse de réputation internationale (Croquis d’Afrique, Sculptures), Sapinta, le cimetière joyeux, une correspondance de Jean Dubuffet ou le Théâtre complet de Louis Calaferte. En 1994, la priorité est donnée à des ouvrages sur la nature et le patrimoine naturel, privilégiant les rencontres d’auteurs avec des photographes, des artistes et des illustrateurs naturalistes. En 2014, le catalogue comprend 150 titres.Deux collections jeunesse, réalisées en partenariat avec le Conservatoire du littoral (Oiseaux du bord de mer) et les Parcs nationaux (Faune sauvage), font appel à des auteurs et des illustrateurs naturalistes. La collection Contes et légendes offre des contes où l’animal et la nature – le loup, l’ours, le renard, la grenouille, l’oiseau, la tortue, le coq et les poules, l’arbre et le jardin sont la représentation symbolique principale. La collection Approches naturalistes, est ouverte aux récits et aux dossiers sur la problématique de conservation de certaines espèces animales (loup, ours, lynx, aigle de Bonelli, vautours…). La collection Patrimoine, riche de beaux livres de photographes ou d’illustrateurs naturalistes, parcourt des territoires d’exception sur le plan naturel (Loire, Pyrénées, Queyras, Vosges, Afrique…). Trois rencontres importantes, celles de Robert Hainard, Louis Calaferte et Claude Seignolle ont été jalonnées de livres au fil des ans : beaux livres et textes autour de l’œuvre de Robert Hainard ; poésie, correspondance et le théâtre complet (26 pièces) de Louis Calaferte ; essais biographiques et collectage ethnographique de provinces françaises de Claude Seignolle.
Les Éditions Hugues de Chivrésont implantées en Touraine et plus précisément dans le Lochois depuis 2005.Attachées à la qualité de l’ouvrage, aussi bien dans son contenu que dans sa présentation et sa fabrication, elles s’attachent à faire vivre la Touraine et à en faire connaître les richesses : - auteurs tourangeaux par leurs racines, leurs attaches ou le sujet de leurs œuvres, - imprimeurs, graphistes, diffuseur implantés en Touraine - une grande partie du catalogue traite de la Touraine, de son patrimoine ou de son histoire. Les Éditions Hugues de Chivré publient aussi de manière plus restreinte des ouvrages relatifs à l’histoire,quelques livres religieux et quelques « coups de cœur ».
Découvrez notre gamme de livres des éditions "Isoète".
Les Editions de Jeu de l'Oie mettent en valeur le patrimoine culturel et naturel du Val de Loire.
Nous sommes heureux de proposer aujourd'hui à tous les amoureux d'Honfleur, où qu'ils se trouvent dans le monde, la possibilité d'être tenu informé de nos dernières publications et de commander en ligne les livres qui traitent de la ville ou de tout autres sujets qui ont toujours un lien avec la ville qu'ils aiment.
Que vous recherchiez un livre d’histoire, un livre traitant du patrimoine culturel, un livre d’art, un livre de photographie ou un livre d’orientation, ou tout simplement un beau livre à offrir ou à s’offrir, bienvenue ! Notre librairie en ligne de livres de patrimoine vous accompagnera lorsque vous préparez vos escapades touristiques ou culturelles à travers la France. De nombreux petits guides sont disponibles, pour visiter les campagnes de France, une église picarde, la montagne vosgienne ou même Lyon : de superbes visites historiques en perspective ! Les beaux livres d’art, d’histoire et d’architecture sont là pour ravir l’œil, la main et la matière grise, des plus grands monuments et sites touristiques d’une ville, d’une région ou même de toute la France au « petit patrimoine », maisons pleines de charmes ou paysages à couper le souffle... Nos livres de photographies, parfois livres de photographes, vous présentent des œuvres qui ont su nous toucher : livres de voyages en Chine, en Inde, au Japon ; livres humanitaires et humains… tous sont une histoire de rencontre et d’engagement. Enfin, à tous ceux, et ils sont nombreux, qui souhaitent découvrir un métier, préparer leur formation ou choisir leur orientation, à la question « quel métier ? » nous dédions la collection Être, véritable panorama du monde du travail, plus qu’un guide des métiers, plus qu’une fiche métier… un test métier, un « stage en entreprise dans votre fauteuil » !
Passionné de lecture et d'écriture, Lionel Forlot a commencé l'aventure en 1994, avant d'être rejoint deux ans plus tard par son ami Yannick Auffray. Il a fallu du temps, l'amour des livres et un rêve pétri de longue date pour relever ce défi. Aujourd'hui, Liv'Éditions emploie du personnel et dispose d'un catalogue suffisant pour être fier de ses efforts. Mais si Liv'Éditions a pu se développer, c'est aussi parce qu'elle a su se spécialiser dans le livre de poche, un type de livres qui permet de découvrir les plus grands auteurs de notre époque comme d'offrir l'opportunité aux autres de trouver un plus large public et de se faire connaître.
Découvrez notre gamme de livres des éditions "Le Livre d'histoire".
Créées en 1992, les Editions GabriAndre ont fêté leurs 20 ans. Une page est tournée... En 2012 la maison change de logo et crée le catalogue d'e-book.
Objectifs Tous ceux qui sont aujourd’hui à l’IEO travaillent pour que l’occitan trouve la place qui est due à une grande langue d’Europe. C’est pour cela que l’IEO est en première ligne pour demander une place pour l’occitan dans la vie publique, les médias et l’enseignement.L’IEO c’est aussi l’action quotidienne de chacun de ses adhérents pour que la culture occitane soit une culture vivante et contemporaine, créatrice et innovante, tout en assumant son histoire.L’IEO c’est la volonté d’unir les efforts de tous ceux qui veulent que l’occitan trouve sa place dans la diversité culturelle essentielle à la société d’aujourd’hui.Ce combat vous pouvez venir le partager avec nous, avec les 2000 adhérents et les quelques quarante salariés qui travaillent dans l’une ou l’autre association de l’IEO. Vous pouvez adhérer à l’une des 28 sections départementales et 7 sections régionales que nous fédérons, ou directement à l’IEO national.L’IEO soutient la promotion et l’enseignement de l’occitan dans le respect de sa diversité dialectale. L’IEO préconise l’emploi de la graphie dite classique ou normalisée qui permet le respect de cette diversité dialectale et celui de l’unité de la langue. C’est la graphie qui est officiellement admise pour l’enseignement de l’occitan sur l’ensemble de son territoire, y compris le Val d’Aran et les vallées occitanes d’Italie.
Depuis 2008, les Éditions Gaussen publient des livres d'histoire. A côté de livres d'histoire générale, nous développons: - une collection intitulée les Musées de l'imaginaire : des livres illustrés sur les grands thèmes de l'imaginaire populaire. - une série consacrée aux classiques de littérature régionale. Au programme, découvertes et redécouvertes. Enfin, nous éditons la revue semestrielle Écrire l'histoire, déjà considérée comme une publication de référence en matière d'historiographie.
Gilletta est à la fois une très jeune et l’une des plus anciennes maisons d’édition françaises. Elle naît en 1880 de l’intuition d’un des tout premiers photographes professionnels, le Niçois Jean Gilletta. Quand d’autres se confinent dans la photo de studio, Gilletta parcourt la Côte d’Azur et l’arrière-pays niçois, mais aussi la région marseillaise, les villes d’eaux, les montagnes savoyardes, les grandes villes françaises et y moissonne des milliers de clichés : monuments, paysages, sites urbains, scènes de la vie quotidienne, grands chantiers…Infatigable témoin d’une époque charnière (1880-1930), ce pittoresque randonneur sur son tricycle De Dion Bouton invente à sa manière le photoreportage. Ainsi naissent les Éditions Gilletta, d’abord vouées à la carte postale, alors en plein essor. Aidé de ses frères Joseph et François, puis de ses neveux Louis et Émile, Jean Gilletta laisse à sa mort en 1933 un fonds photographique de grande renommée (dont une partie est déposée aux Archives du patrimoine au fort de Saint-Cyr). Petits-neveux par alliance du fondateur, Claude et Gilbert Grisoni reprennent la maison en 1968 et en diversifient l’activité. L’édition de livres, d’abord orientée naturellement vers la photographie, s’ouvre progressivement à d’autres genres. Avec une prédilection pour le patrimoine régional sous toutes ses formes (sites, architecture, peinture…), l’histoire locale, le tourisme de découverte. Et, toujours, ce « certain regard » et ce souci de qualité hérités du fondateur.Début 2000, grâce à Gilbert Grisoni, Gilletta tourne une nouvelle page et rejoint le groupe de presse Nice-Matin. Grâce aux synergies créées avec le quotidien Nice-Matin, Var-Matin et Corse-Matin, Gilletta élargit son territoire éditorial à tout le sud-est, des confins de la Riviera italienne aux portes des Bouches-du-Rhône, du Mercantour aux gorges du Verdon. Sa diffusion et sa distribution sont, corrélativement, étendues à l’ensemble de la France. Son catalogue, désormais sous la direction de Valérie Castera, propose des collections à la hauteur de ses ambitions : beaux-livres dédiés aux trésors picturaux ou aux merveilles naturelles de la région, guides géographiques et thématiques, albums-photos, carnets de cuisine, chroniques littéraires ou documentaires, calendriers perpétuels, affiches… pour (re) découvrir un lieu, une époque, un loisir ou une oeuvre, un bonheur de vivre entre mer et montagne, sous des cieux qui n’en sont pas avares…
Héritière d'une dynastie de libraires marseillais, Jeanne Laffitte est éditrice devenue célèbre pour son talent de grande fureteuse des raretés nostalgiques. Spécialiste du reprint - procédé de reproduction photographique, page à page - puis aujourd'hui grâce aux nouvelles technologies numériques, Jeanne Laffitte redonne vie à des ouvrages jusque-là rarissimes et introuvables, en réplique fidèle dans leur élégance sobre et originelle. Elle résiste ainsi pour sa part à l'oubli qui guette ou qui gangrène le patrimoine culturel, sans cesse menacé. Toujours en veine de création, elle ne se contente pas de réimprimer d'anciens chefs-d'œuvre d'érudition. Depuis 1978, elle édite des ouvrages originaux, tout en demeurant fidèle à sa vocation : la défense et l'illustration de Marseille et de la Provence. Le premier texte inédit est celui de Jean-Claude Izzo sur Clovis Hugues, les derniers ceux de Michel Goury, "Un homme un navire, la peste 1720", et Christian Jean Dubois "Clot Bey, médecin de Marseille (1793-1868)".Plus de 2 000 titres ont été produits, retraçant l'histoire de Marseille, des Marseillais, de la Provence, mais aussi de toutes les régions françaises. La gastronomie, l'œnologie sont également deux domaines privilégiés dans ses choix.
L'Histoire du SourgentinDécouvrir l'histoire de l'association, de ses membres qui depuis 1970 animent la revue et défendent le patrimoine culturel de nice et de son comté, c'est remonter le fil d'une histoire faite d'amitiés, de passions intellectuelles et de compétences renouvelées... 1970-1977 1977-1982 1982-1988 1988-2000 1970-1977En mai de l’année 1970 paraît le premier numéro de la revue "Lou Sourgentin". Modeste tirage avec ses 11 pages ronéotées pour une diffusion qui ne dépasse pas 300 exemplaires, le nouveau bulletin se présente comme "le lien" entre les membres du Cercle niçois Antoine RISSO créé deux ans auparavant au collège du boulevard Pierre Sola. Les trois artisans de la nouvelle publication sont professeurs au collège d’enseignement secondaire qui, par décision de l’Inspecteur d’Académie des Alpes-Maritimes et en accord avec le tout nouveau Conseil d’Administration, porte le nom d’Antoine RISSO. Roger GASIGLIA y enseigne les lettres, Charles MALAUSSENA l’éducation physique et Jean VINCENTI les mathématiques. Autour d’eux, et depuis son inauguration officielle du 29 avril 1968, de nombreux élèves, des enseignants, des amis et des personnalités du monde culturel niçois sont venus grossir les rangs du Cercle niçois. Expositions de travaux d’élèves, conférences et cours de langue niçoise seront donc, désormais, complétés par l’édition d’un bulletin bilingue nissart-français dont on imagine sans peine les espoirs qu’il porte en ce printemps de 1970. Textes et poésies en nissart, découverte – noblesse oblige – du savant naturaliste Antoine Risso mais aussi de l’évêque Pierre Sola (le boulevard qui borde le collège), texte de Joseph Rosalinde Rancher sur "Lou festin de Cimiès", mots croisés en nissart et …la recette de "La soupa au pistou" constituent le sommaire de ce premier numéro. L’aspect de la publication est fixée, elle ne variera que lentement au cours des 139 numéros suivants ! Ne doutant de rien quant à la périodicité, les responsables font paraître, dés le mois suivant, le numéro 2. Même forme artisanale, même présentation et contenu analogue : on y poursuit la découverte de la vie d’Antoine Risso, on rencontre la famille Thaon de Revel (l’autre rue qui longe les bâtiments du collège) et on se pourlèche à la lecture de la recette de la célèbre "Ratatouia" ! La voie est tracée et la forme rédactionnelle définie dans ses grandes lignes. Les parutions prennent un rythme plus conforme à une fabrication qui de nos jours nous laisse rêveurs. Grâce à une machine à écrire qui n’est plus très jeune, les textes sont saisis et composés en même temps sur des stencils papier qui seront placés sur une ronéo à encre tournée à la main pour sortir les 300 feuilles. De la même façon seront tirés les verso, puis les différentes pages sont assemblées à la main en autant de cahiers que l’on colle entre deux feuilles de couverture imprimées, elles, par un professionnel ! Jusqu’à la fin de l’année 1972, c’est à dire jusqu’au numéro 9, l’administration et la fabrication du "Sourgentin" restent dans le cadre du collège Risso. Mais un développement relativement important et des problèmes relationnels avec la direction de l’établissement amènent son premier déménagement. Au deuxième trimestre de l’année 1973 paraît le numéro spécial 11, consacré à "La pesca" et sorti de l’atelier de l’Office Central de la Coopération à l’Ecole, installé à l’école Saint-Roch. Jean HAMMERER, le responsable, y a accueilli l’équipe du Sourgentin que sont venu rejoindre entre temps Antoinette FRANCO, Séraphin LAUGERI, Raoul NATHIEZ, Thérésius PASSERON et Roger ROCCA.Pendant quatre ans vont se succéder une série de numéro aux sommaires riches, où l’on retrouve des noms prestigieux comme ceux de Francis GAG, Fernand MOUTET, André CANE, Jousé GIORDAN décédé quelques années auparavant, Jouan NICOLA… De grandes séries sont proposées sur plusieurs numéro : "Si mon Comté m’était conté", de Roger GASIGLIA, "Qu èra" de Roger ISNARD, "Emparas lou nissart" de Carlètou MALAUSSENA puis de Christiane BAILET… Les possibilités techniques ne permettent que la reproduction de dessins au trait : ils sont toutefois nombreux, essentiellement dus à Paul MACARIO. La pagination atteignant une quarantaine de pages, le nombre de piles de pages augmente autour de la grande table et la ronde des bénévoles préposés à l’assemblage ne parcourt pas moins de… cinquante kilomètres pour confectionner un numéro. Il faut ensuite préparer, encoller, faire sécher, découper ces galettes, le tout dans une ambiance chaleureuse où le nissart résonne en maître ! Quelques numéros seront particulièrement remarqués : les 15 et 18 spéciaux consacrés à Rancher et le 22 spécial Carnaval. Mais encore une fois, l’espace de fabrication du Sourgentin devient insuffisant, et il faut envisager un nouveau lieu d’implantation permettant la mise en place d’une gestion administrative qui se développe, compte tenu du succès de la jeune revue. En septembre 1976, et grâce à l’aide amicale de Thérèse ROMEO, la petite école du Monastère de Cimiez, alors désaffectée, accueille l’équipe du Sourgentin. Le changement de siège sera, par ailleurs, l’occasion d’une évolution technique importante : le tirage sur une petite offset de bureau. Le numéro spécial 25, consacré aux "Bouta", est donc le premier d’une nouvelle série, intégrant dessins et photos et tirée sur un papier de meilleure qualité. Les couvertures, qui différaient jusqu’alors uniquement par la couleur, vont être personnalisées par un dessin et imprimées en une couleur.haut de la page… 1977-1982En février 1977 paraît donc le 26e numéro du Sourgentin, sans titre spécifique car ce n’est pas un numéro spécial. Dans son éditorial Charles Malausséna, rédacteur en chef, après s’être félicité de ce que la revue a atteint l’âge de raison "…sian proun fier d’aquestou numerò 26…", annonce surtout la sortie du livre "Lou nissart à l’escola". Mis en place par une équipe du Sourgentin et édité par le CRDP, c’est l’outil qui devrait permettre à la revue de s’ouvrir vers l’extérieur. La diffusion de cet ouvrage va être une des préoccupations de cette année 1977. Avancée importante dans la conception de ce support d’apprentissage, il est accompagné d’une cassette audio, mise en place par les membres de l’équipe sourgentine et les voix de Christian BAILET, Charles MALAUSSENA et Raoul NATHIEZ. Les rubriques traditionnelles se poursuivent : Qu èra ?, Lu belicre, Emparas lou nissart, Per una bouòna mastegagna, Mot crousat et un compte rendu fidèle de la Ronde qui permet de façonner les numéros. Estimation surprenante, mais vérifiable : la ronde de fabrication d’un numéro de la revue, que l’équipe qualifie de marathon pour lui garder tout son aspect sportif, nécessiterait cent mille pas pour certains, cinquante kilomètres pour d’autres. Le tout dans une excellente humeur entretenue par les barseleta de Gregori Viola. Si les photos peuvent techniquement être reproduites, l’essentiel des illustrations est constitué de dessins de Paul Macario, avec l’arrivée d’un nouveau collaborateur, Jean-François Laugeri, qui a notamment pris en charge une série sur les armoiries de Nice. Depuis le début de l’année, le Sourgentin est installé dans la petite école du Monastère de Cimiez, et le numéro 28 porte en couverture le dessin de son portail d’entrée, au pied du célèbre "Bois sacré" Notons que le numéro 29 officialise la publication, avec un siège social à Cimiez au domicile de Charles Malausséna, un siège administratif, rue Louis Garneray chez Antoinette Franco et une imprimerie installée à l’école du Monastère de Cimiez. Pour la première fois apparaît le numéro de Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse.Le numéros 29 d’octobre 1977 "J. Bavastro, corsaire niçois", véritable ode à la mer consacre le dessinateur Jean-François Laugeri, nouveau collaborateur du Sourgentin. Sa série sur les armoiries de Nice et quelques dessins avaient laissé augurer de la valeur du nouvel arrivé dans l’équipe rédactionnelle. La vingtaine d’illustrations et culs-de-lampe illustrant le numéro le confirment. C’est donc l’aventure passionnante de Joseph Bavastro, contée merveilleusement par René Tresse. La vie du célèbre capitaine niçois, Génois d’origine mais Niçois de cœur, fera quelques années plus tard l’objet d’un ouvrage de Robert Ciarlet, coédité par les éditions du Cabri et du Sourgentin. Quant à la mer, et aux dessins de navires et d’installations portuaires de J.-F. Laugeri, on les retrouvera en juin 1979, dans le numéro 37 consacré aux "Chroniques du port de Nice sous la Révolution et l’Empire" et dans le 45 de février 1981 "Le navire à vapeur au port de Nice, de 1823 à 1863". Les numéros se suivent, et avec eux les rondes mais aussi, parfois, les réunions amicales. Le 27 janvier 1979, à 15 h, dans les locaux du journal, la direction convie tous les animateurs à venir tirer les Rois. A cette occasion, Carlètou Malaussena reprécisait la nature du Sourgentin : "… un’obra couletiéuha e ouriginala couma n’i a pas douhi en lou pais noustral…". La sortie du numéro 37 en juin 1979 coïncide avec la mise en place d’un nouveau matériel de tirage offset. L’ancien matériel ne pouvait plus sortir un Sourgentin aussi bien fini que les responsables le désiraient. Il est donc décidé d’investir dans un matériel semi professionnel, qui devait permettre de gagner surtout en qualité.haut de la page… 1982-1988Avec le numéro 49 présentant les Cartes du Pays niçois s’est achevée la première partie de l’histoire du Sourgentin (1). Plus que la nouvelle couverture en couleurs, c’est l’infrastructure et le fonctionnement général qui se transforment désormais. La première modification, et certainement la plus importante, est l’installation dans des locaux personnels que les responsables de la revue ont décidé de louer au 70, avenue Milon de Véraillon, au pied de la colline du Mont Gros. Sans qu’il y ait eu le moindre problème, et sans nier, bien au contraire, toute l’aide apportée par les services de la Ville de Nice, Lou Sourgentin installe ainsi un peu plus son indépendance. Les mois et les années qui suivent voient un développement et un rayonnement incontestables de la revue. Outre leur travail régulier au sein du journal, les responsables et les membres de la rédaction participent à la plupart des actions en faveur de la langue et de la culture régionales. Ainsi Raoul Nathiez impulse à sa jeune troupe de théâtre un élan remarquable, et ses pièces soulèvent l’enthousiasme d’un public averti. Roger Rocca et Jean-Claude Ranucci préparent leur Doctorat dans le cadre des enseignements universitaires de la section de langue d’oc mise en place à l’Université de Nice par le Professeur Castela. Roger Isnard, André Cane, Francis Gag… animent un grand nombre de conférences. Christiane Bailet, Rémy et Roger Gasiglia, Robert Paolini, Geneviève et Jean-Claude Ranucci enseignent le niçois, soit dans le service public de l’Education nationale, soit dans des Associations comme l’Acadèmia nissarda… S’agissant de la politique rédactionnelle, elle vise avant tout à maintenir un équilibre entre langue proprement dite et sujets culturels. Chacun des thèmes choisis met en évidence ce qui fait la spécificité du Sourgentin, à savoir l’Histoire au travers de l’Histoire des Hommes et de leur spécificité. Les tramways (LS 53), ce sont les lignes et les dates de construction, mais aussi l’histoire des hommes qui leur ont donné une âme… La montagne (LS 57), c’est la découverte du Mercantour au travers des porteurs et des guides du début du siècle… Et il en est ainsi du Long chemin d’une Niçoise (LS 65), de La Ciamada nissarda de Jouan Nicola (LS 69), du Train des Pignes (LS 70), du Ski (LS 75), de La Côte d’Azur (LS 78) : la parole est aux acteurs, de préférence en nissart ou en gavouòt. Charles Malausséna puis Raoul Nathiez, qui prend la Direction de la Rédaction à partir du numéro 75, Le ski au soleil, mettent en place des numéros riches et variés, avec ce souci constant d’ouverture aux acteurs de la vie "dóu cada jour", aussi modestes soient-ils. Toutes les sensibilités et toutes les graphies y sont accueillies, et Lou Sourgentin s’affirme de plus en plus comme un lieu de rencontre.Souci constant de Jean Vincenti, le Directeur-gérant, mais aussi de l’ensemble de la Direction, l’indépendance financière, condition de la poursuite de l’œuvre entreprise en toute liberté. Comme il l’affirmera à plusieurs reprises dans ses éditoriaux, elle passe par le développement de la diffusion et des points de vente, ainsi que par l’augmentation du nombre d’abonnés. Remarques de bon sens, et qui sont toujours d’actualité !(à suivre)(1) voir les encarts dans les numéros 140 et 141 de la revue.haut de la page… 1988-2000Le 28 septembre 1388, devant l’Abbaye de Saint-Pons, les "députés" de Nice accueillent Amédée VII de Savoie, le comte à l’armure rouge : "Si prenons le conte de Savoye qui marche a nous devers Pyemont et tant est puissant a nous desfendre de nos enemis". Six cents ans plus tard, la ville de Nice fête somptueusement cette Dédition, véritable contrat par lequel la communauté niçoise s’associa, pour cinq siècles, à la Maison de Savoie. Cet anniversaire marque, pour la revue Lou Sourgentin, le début d’une période de développement et de rayonnement (1). Période caractérisée par la mise au service de la mission culturelle d’une infrastructure informatique de plus en plus performante et de mieux en mieux maîtrisée. La ligne rédactionnelle telle qu’elle est régulièrement définie par les réunions de Direction ne varie guère : Lou Sourgentin se veut lieu de rassemblement, libre de toute allégeance, avec la liberté de donner son avis sur les grandes évolutions qui marquent l’espace niçois. Ainsi n’hésite-t-il pas à donner la parole au Professeur Castela dans le numéro 83 (octobre 1988) qu’il consacre à Nice au futur : "La première forme de développement de la ville s’efforce de conserver la notion de patrimoine culturel qui permet de donner de la cohésion à la collectivité urbaine… La seconde est la ville de la facilité, acceptant le remodelage de l’espace par une destruction éhontée du patrimoine…". Une liberté de jugement que l’on retrouve quelques mois plus tard, lorsque qu’il s’agit de marquer le Bicentenaire de la Révolution française, sous la plume de Raoul Nathiez, directeur de la rédaction : "Si la population de notre Comté eut tant à souffrir durant la période dite révolutionnaire, elle le doit davantage à l’état de guerre qu’à l’état de révolution, situation d’autant plus ressentie que nous étions un pays pauvre". Cette ligne rédactionnelle, définie par les Directeurs, et que Raoul Nathiez met en œuvre lors des conseils de rédaction, intègre depuis bien des années les avis des lecteurs recueillis lors de contacts personnels, de rencontres organisées (comme les présentations régulières), de lettres… On assistera même, en juin 1989 (n° 87), sous le titre de "Toui ensen" présenté Jean Vincenti directeur de la publication, à la mise en place d’une vaste enquête, à laquelle répondront une centaine de lecteurs ! Ainsi donc une opération "Faites votre Sourgentin" qui devait marquer les vingt ans de la revue, anniversaire fêté dans les locaux de la Mutuelle Générale de l’Education Nationale, hôtel Nikaia à Nice, en présence des représentants de la Mairie et des Associations culturelles. Au fil des mois et des années, les différents numéros se suivent régulièrement au rythme de cinq parutions annuelles, proposant des sujets variés et dont bon nombre répondent à une attente des lecteurs. Il en est ainsi du "Vélo à Nice" (N° 82), des "Fleurs de Nice" et de la rencontre avec Antoine Martin (N° 86), des "Transports" et de son évocation du Train des Pignes (N° 88), du "Cinéma à Nice", merveilleux voyage dans le passé de nos salles obscures et du monde de la Victorine (N° 91), des "Femmes du Pays niçois" (N° 93) Et toujours cette volonté de maintenir vivante la culture niçoise, garante d’une Identité à laquelle des milliers de lecteurs se sentent si attachés : "A mitan camin tra li publicacioun touti sapienti e aqueli que soun basta divertissenti, dubert en toui sensa autre precounchet o ideoulougìa de n’en defendre l’Identita, lou Sourgentin es estat fin ahura e pù countunià d’estre lountemp un ligame d’amistà e un moutiéu de reflecioun per un noumbre toujour pu gran de Nissart" (Roger Gasiglia, un des fondateurs du Sourgentin, sous le titre "La plaça dóu Sourgentin en lou mouvimen cultural regiounal", dans le numéro 94 d’octobre 1990). Intérêt du contenu et qualité de la présentation ne cessent de retenir toute l’attention des responsables. De nouvelles rubriques font leur apparition, comme "La fleur du jour", de Roger Isnard, le "Pourtret d’aquì" de Carlètou Malaussena, "L’architecture", de Jean-François Laugeri. Certaines disparaîtront, d’autres comme "La Caminada" évolueront, d’autres naîtront, comme "Jardins d’ici" de Dominique Veux-Rocca ou "Expositions" d’Hélène Galli. La langue niçoise et son apprentissage, raisons d’être de la revue, seront présentes de façon constante, soit que la rubrique soit confiée à Jacques Chirio, soit qu’elle trouve des collaborateurs plus occasionnels comme Jouan Garavagno, Jean Pastour ou plus récemment Robert Bistolfi. Avec Raoul Nathiez, de nouvelles formes d’articles voient le jour : interviews qui donnent la parole, pratiquement en direct, aux acteurs de la vie culturelle ou économique et tribunes où les avis différents sont présentés parallèlement. Et tout autour du Sourgentin, toujours cette animation culturelle, faite des cours de nissart qui rassemblent de plus en plus d’escoulan motivés – motivation qui trouvera sa concrétisation en juin 2000 par la mise en place des épreuves du Certificat d’Estudi Nissardi –, des Journées du Sourgentin (voir par ailleurs). Des présentations régulières proposeront des entretiens avec des invités de marque : le professeur René Bourgeon pour le numéro 95 sur "Les hôpitaux à Nice", le colonel Raybaud commandant les Sapeurs pompiers de Nice pour le numéro 102 sur "Les Pompiers de Nice", Renée Le Roux, ancienne directrice du Palais, pour le numéro 115 sur "Le Palais de la Méditerranée", le colonel de Gendarmerie Podevin pour le numéro 118 sur "Gendarmes et voleurs", René Houat et Virgile Pasquetti pour le numéro 112 sur "La Libération de Nice", Monseigneur Varnava, évêque orthodoxe de Cannes pour le numéro 123 sur "Les Russes à Nice", le Directeur de la Communication pour le numéro 124 sur "La Chambre de commerce", Amélia B., pour le numéro 126 sur "La vie galante", Ghislain de Charnacé, président des vignerons de Bellet pour le numéro 133 sur "Les vins du pays niçois". L’évocation de l’Histoire du Sourgentin s’arrête là.Il était difficile de résumer en quelques lignes trente ans de vie sourgentine, et très certainement des événements ou des faits importants ont été omis. Demandons l’indulgence de tous et souhaitons que ces oublis servent à conforter les échanges de courrier entre les lecteurs et la rédaction.Roger ROCCA
Fondée en 1971 à Aix-en-Provence, Edisud continue d’explorer ses thématiques favorites : jardin, nature bien-être et santé, patrimoine de Provence et de Méditerranée, guides de tourisme et de randonnées, cuisine des régions et cuisine du monde, bricolage, décoration et loisirs créatifs, livres sur le boutis, lettres, dictionnaires et manuels de langue provençale.Avec aujourd’hui plus de 500 titres à son catalogue, la maison propose un large choix d’ouvrages pratiques, de livres «découvertes» et de beaux livres dans des collections plébiscitées et suivies par un large public aussi bien que par la presse : Petits Bonheurs Maison, Je choisis le naturel, Pas à pas, Nature au Sud, Voyages gourmands…Des titres phares et de grands succès, comme L’Art du potager en carrés, Vins apéritifs maison, Sauvages et comestibles, Cueillir et cuisiner les plantes sauvages, Jardin sans eau, Canal du Midi à vélo, Recettes en Provence ou encore Ocres et finitions à la chaux… sont le reflet de plus de quarante ans d’expérience, de rencontres et de collaborations avec des auteurs de renom.
Fondées il y a vingt ans, Les Editions de Paris se sont attachées à ressusciter l'histoire et la vie de Paris. Depuis 1994, la maison d'édition s'est enrichies de plusieurs collections :
Les Éditions de l’Écluse ont vu le jour en mars 2006 à l’initiative de Jean-Michel Cazeaux, imprimeur à Châtillon-Coligny, entouré d’un petit groupe d’auteurs, d’enseignants, de membres d’associations historiques ou de préservation du patrimoine, désireux de partager avec un large public leurs connaissances et leur goût pour l’écriture.Hôte résidant d’une imprimerie familiale installée depuis deux générations, les Éditions de l’Écluse s’attachent à réaliser des ouvrages de qualité et renouent ainsi avec la tradition de l’imprimeur-éditeur du siècle des Lumières.Les Éditions de l’Écluse ont pour vocation de publier des ouvrages à caractère historique ou littéraire ayant trait au Gâtinais, mais aussi de promouvoir le travail d’auteurs locaux ou régionaux dans les domaines les plus divers.La diffusion est effectuée directement auprès d’un grand nombre de lecteurs, grâce aux réseaux des libraires, des bibliothèques, des associations locales, véritables partenaires qui contribuent à maintenir les conditions économiques nécessaires à tout travail d’édition.Le comité éditorial est dirigé par Jean-Michel Cazeaux et compte parmi ses membres Gilbert Baumgartner, Daniel Plaisance, Michel Métais, Roland Duval et Jacky Leloup. Ses fonctions se partagent entre la lecture des manuscrits, le choix des publications, la mise en place d’un calendrier, la stratégie de diffusion et de promotion, la rédaction d’articles de presse, de préfaces, de textes contributifs. Il assure également la couverture médiatique la plus large possible.
Comme son nom l'indique, la collection "Inédits & Introuvables du patrimoine normand" comprend des créations et des rééditions essentiellement basées sur l'histoire normande, régionale et locale. Créée et développée en janvier 2001 par les Editions Eurocibles, dont l'activité principale est la communication en direction des collectivités et organismes publics ou privés, cette collection a pour but de proposer au public le plus large possible des ouvrages épuisés voire oubliés pour certains ou des créations réalisées par des auteurs régionaux sur des thèmes ou sujets liés au patrimoine local pour les autres. Ces livres sont tirés en quantité limitée (entre 1000 et 3000 exemplaires) et font l'objet d'une souscription avant leur parution.
Jeanne d'Arc Editions
HC Éditions a été créée en 1994, dédiant ses premières publications aux Antilles et à la richesse de leur patrimoine. En 1997, paraissent les premières éditions de Martinique d’Antan et de Guadeloupe d’Antan. Les lecteurs accueillent ces ouvrages avec enthousiasme, découvrant toute la force esthétique et historique de la carte postale du début du XXe siècle.En 2004, HC Éditions décide d'élargir cette collection "d'Antan" à l'ensemble de la France pour que chacun puisse découvrir ou redécouvrir la ville, la région, le pays de ses grands-parents. Aujourd’hui le catalogue compte plus de 30 titres sur les villes et régions de France à travers la carte postale ancienne et s’est ouvert sur l’étranger, proposant des titres à grand succès comme L’Algérie d’antan.Parallèlement, HC Éditions continue d’affirmer sa vocation d’éditeur du patrimoine antillais en publiant notamment des monographies sur les peintres d’outre-mer et, plus récemment, un ouvrage encyclopédique sur “La Peinture en Martinique”. Une collection d’ouvrages de photographies aériennes a également été lancée avec “la Martinique vue du ciel” et “la Guadeloupe vue du ciel”.
La Fontaine de Siloë
Vous ne trouverez aucun de nos ouvrages dans les grandes surfaces, afin de réduire les frais de diffusion, la vente directe nous permet d’éditer à peu d'exemplaires, à un prix très raisonnable, et toujours de grande qualité. Par contre, vous trouverez dans notre catalogue virtuel le maximum de livres sur la SEINE-ET-MARNE, tous éditeurs confondus. Notre but : être une librairie très spécialisée sur la Seine-et-Marne, ce que nous faisons déjà depuis 1978, avec des catalogues offrant plus de 500 titres d'ouvrages sur la région...Retrouvez les ouvrages, bulletins, revues, gravures, disponibles sur le département de la Seine-et-Marne, Le Val de Marne, l’Essonne, Paris,... Livres récents disponibles à la vente, de différents éditeurs ayant traits à ces régions. et divers autres titres de Lys Editions Amatteis.
Lucien Souny Editions
Les Amis de la Galicière, c’est une multitude d’actions qui ont pour principe fondamental de faire revivre l’ancienne Fabrique de soie, de la faire connaître pour la sauver de l’oubli et de la ruine. Les Amis de la Galicière, c’est aussi de nombreuses recherches menées sur la sériciculture, une inscription au patrimoine protégé, des emplois aidés, des outils de communication minutieusement élaborés… Les Amis de la Galicière, c’est plus de 130 membres, qui, chacun à leur façon, contribuent à l’animation du site, à l’accueil des visites. Qu’ils soient passionnés de patrimoine, historiens, techniciens, acteurs du monde textile, écrivains, journalistes, artistes, ou simples curieux, ils ne sont jamais déçus d’avoir poussé la porte…
EMCC Editions
Les Éditions de l’Entre-deux-Mers , ont été créées en l’an 2000, assurant de manière autonome les activités éditoriales initiées par le CLEM (Comité de Liaison des associations historiques de l’Entre-deux-Mers). Leur statut juridique est celui d’une association (loi 1901).Les Éditions de l’Entre-deux-MersPoursuivant l’édition intégrale de l’œuvre de Léo Drouyn (1816-1896) dont les 19e et 20e volumes sont parus en 2013 et les 21e et 22e sont en préparation, les Éditions de l’Entre-deux-Mers se sont aujourd’hui spécialisées dans la publication de documents historiques inédits faisant, dans le même esprit, la part belle à l’iconographie (Collection Archives et Chroniques d’Aquitaine, collection Archives et chroniques de l’Entre-deux-Mers, collection Mémoire contemporaine).Il en est ainsi des 50 dessins à la plume de 1727 accompagnant les procès-verbaux de François Le Masson du Parc dans les Amirautés de Bordeaux et de Bayonne au début du XVIIIe siècle, de 65 dessins du manuscrit sur les pêches maritimes du Cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France (Pêches et pêcheurs vol. 2), de l’Histoire de la construction navale à Bordeaux des origines à aujourd’hui, de la publication en deux volumes des 139 dessins réalisés en Bordelais entre 1637 et 1647 par Herman Van der Hem, dessins conservés à Vienne, Copenhague et Paris, ou encore des Portraits de Bordeaux gravés entre le XVIe et le XVIIIe siècles.D’autres collections ont un horizon plus local, l’Entre-deux-Mers bien sûr, ou tout autre commune ou région de la Gironde : ainsi la série de plaquettes de 24 pages, destinées aux offices de tourisme, « Comprendre le patrimoine de l’Entre-deux-Mers ».Les Éditions de l’Entre-deux-Mers sont également responsables de la manifestation estivale inscrite dans les Scènes d’Été permanentes en Gironde : La Fête à Léo et au patrimoine girondin.
Les Editions Gypaète, créées en 2000, présentent des ouvrages de photographies régionales. Différents auteurs de talent nous livrent des images fortes servies par une écriture visuelle originale et une impression de qualité. Une maison d'édition au regard passionné sur la nature… qui aime vous faire rêver!
Grand Sud Editions
Le monde littéraire renoue avec le passé, chante le présent et prépare demain. Image Par la magie de l'impression numérique, les ouvrages d'antan refleurissent dans les rayons de nos librairies et de nos bibliothèques. Le livre quasi introuvable, celui recherché par les collectionneurs, se trouve à la portée de toutes les bourses.Nées de l'association des Editions VP "La Vie du Passé" et de l'imprimerie Calligraphy (Sierre), les Editions à la Carte viennent à vous et vous présentent leur collection. Des ouvrages de la vie du passé (18ème, 19ème et début du 20ème siècle) aux livres contemporains de tous ordres, la palette d'offres s'étoffe de jour en jour.Contes et légendes Témoins du passé Monographies locales Klorophile Folklore et traditions Ouvrages de diverses régions du Valais Roman, poésie, etc.
La Lauze Editions
Les Éditions du Rouergue, également connues sous le nom de Le Rouergue/Chambon (selon le nom de l'éditrice Jacqueline Chambon) sont une maison d'édition littéraire française. Fondées en 1986 à Rodez (ville de l'ancienne province du Rouergue), elles ont fusionné avec Actes Sud en 2004. Les Éditions du Rouergue ne sont plus dirigées par leur fondatrice, Danielle Dastugue depuis 20101.
Le Festin Editions
Le Tour est dirigé par Marc Mogenet. Il se propose d'éditer et de diffuser des textes anciens et des auteurs d'aujourd'hui, en particulier s'ils ont un lien avec les pays de Savoie, une région souvent mal appréhendée dans sa spécificité et son originalité par les éditeurs conventionnels.
Après avoir publié il y a deux ans le livre Les colombiers du Pays d'Auge, Marie-France et Paul Barabé ont à nouveau parcouru la campagne augeronne, cette fois-ci à recherche des poternes. Ils ont ainsi écrit Les poternes et autres colombiers du pays d'Auge.« C'est un sujet qui n'avait jamais été traité », remarque Paul qui signale : « Les poternes ce ne sont pas seulement des portes dérobées situées dans la muraille, cela désigne aussi des entrées fortifiées ».Partant de là, c'est un intense travail de recherches qu'ont effectué les époux Barabé : quête des documents, tri et sélection des informations, étude des données techniques, le tout avec un sérieux digne de grands professionnels.Sur le terrain, ils ont pu constater la grande variété de ces types de constructions parfois méconnues. « Nous avons ainsi découvert des richesses insoupçonnées », commente Paul. Marie-France, cartes routières en main a apporté beaucoup par son regard exercé de chercheuse. Elle a aussi réalisé, d'une main sûre, les esquisses des bâtiments rencontrés en chemin.Toute cette quête accompagnée d'un travail énorme sur le plan de la documentation, s'est effectuée avec parfois des aboutissements inattendus. Ainsi, l'étude de la superbe poterne du château de Fervaques a été le déclencheur de la connaissance du personnage hors du commun qu'a été, à l'époque des guerres de religion, Guillaume de Hautemer au sujet duquel Paul Barabé confie : « J'ai passé de bons moments avec lui. »Ces moments, il les fait partager au lecteur qui revit ainsi les péripéties de cette époque si troublée. C'est au total une bonne vingtaine de poternes qui sont décrites dans ce livre richement illustré par des photos et des reproductions d'aquarelles peintes avec le talent sûr de Paul Barabé.Un heureux complément de cet ouvrage de 260 pages est apporté par le chapitre intitulé « Autres colombiers du pays d'Auge », lequel apporte un supplément au premier livre réalisé sur ce thème. Là aussi, de belles surprises surgissent au fil des pages.